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Ma vieille lune de cendre

Abbatucci

Nouveau poète
#1
Éternels voyageurs de nous-mêmes

On a enterré dans le silence de la nuit,

La fureur de notre passion extrême.


Je frémis de ce mal qui nous poursuit.

--

Si le soleil s’est figé sur des amours déçus,

Là, où soupire ma vieille lune de cendre,

Le fantôme de son chant ne s’est jamais tu.


Je frémis de plaisir à l’entendre.

-


Sous le signe du lien invisible,

Au perpétuel sourire charmé,

Qui unit notre destin indivisible


Je frémis de plaisir à t’aimer.