Elle marchait à petit pas * le -long * de l' allée
pas plus vetue , d'un chapeau de paille couleur blé
les tirades qu'elle lançaient au bout pour un gamin d' été
elle balançait les haies battues sur les coteaux
lasse , elle n'usait pas de plus du flanc d'un roseau
quand elle ne vit les traces d'un pas d'un moineau
les hirondelles volaient bas , quand la ligne ronflait
sur gel d'un temps d'automne qui sonnait
,le soleil d'un matin quand les feuilles d'érable jonchaient
le temps de la moisson qui donnait plus que le grain
quand les premiers plants donnaient les petit pains
les matins d'octobre ne brouillait pas d'un Avril sain
plus qu'une noire, sur le piano clair , proche d'une fenêtre ouverte
elle arrivait â terme , pour s'asseoir sur le vieux banc sans perte
musique de vers , de verres remplies d'eau , de menthe verte .
La demeure ensoleillée dont elle entretenait d'un édredon posé ,
elle griffonnait sur le bord d'une table d'une terrasse nettoyée
les piètres chiffres de son gamin d'un livre d'instit de naguère , d'été
les jolis pleurs d'un fils rieur , pour les meilleurs , de saisons froides
les sillons crus pour les regards sur le tableau noire sans crades
même si le meilleur comme lui , ne faisait pas plus de rades
........................................................................................ A mon père spiriituel ,Marcel
Kiss de Sam ( S...........)
www.FLS@copyright.fr
pas plus vetue , d'un chapeau de paille couleur blé
les tirades qu'elle lançaient au bout pour un gamin d' été
elle balançait les haies battues sur les coteaux
lasse , elle n'usait pas de plus du flanc d'un roseau
quand elle ne vit les traces d'un pas d'un moineau
les hirondelles volaient bas , quand la ligne ronflait
sur gel d'un temps d'automne qui sonnait
,le soleil d'un matin quand les feuilles d'érable jonchaient
le temps de la moisson qui donnait plus que le grain
quand les premiers plants donnaient les petit pains
les matins d'octobre ne brouillait pas d'un Avril sain
plus qu'une noire, sur le piano clair , proche d'une fenêtre ouverte
elle arrivait â terme , pour s'asseoir sur le vieux banc sans perte
musique de vers , de verres remplies d'eau , de menthe verte .
La demeure ensoleillée dont elle entretenait d'un édredon posé ,
elle griffonnait sur le bord d'une table d'une terrasse nettoyée
les piètres chiffres de son gamin d'un livre d'instit de naguère , d'été
les jolis pleurs d'un fils rieur , pour les meilleurs , de saisons froides
les sillons crus pour les regards sur le tableau noire sans crades
même si le meilleur comme lui , ne faisait pas plus de rades
........................................................................................ A mon père spiriituel ,Marcel
Kiss de Sam ( S...........)
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