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Sois sûr

CHENNOUFI

Maître Poète
#1
Sois sûr
Pourquoi la haine pourquoi l’orgueil
Pourquoi en amour cette tricherie
Et pourtant, l’amour donne au cœur des ailes
Mais la tricherie, fait tout tomber
Pourquoi ce rancœur et les actes amers
Entre eux, Satan règne depuis…
Tant d’amis des années qu’ils ne se parlent
Comme si l’un possède l’enfer, l’autre, le paradis

Je me souviens d’un jour
Ou dans mes bras ton corps
Les caresses de douceur
Et ces fabuleuses nuits

Je me souviens de ton corps
Et mes mains qui labourent
Jusqu’aux profondeurs
À te faire vibrer

Je me souviens toujours
Après chaque acte d’amour
Quand t’elle s’étendre nos corps
De ce chaleureux bisé

Je sens en moi encore
La chaleur de ton corps
Dans mes oreilles, tes murmures
Que ton seul prince, j’étais

Je me souviens de ce décor
Et de ce grand bonheur
Malgré mes huit heurs
Avec le sourire la porte, tu m’ouvrais

Je me souviens, c’est sûr
De ce grand amour
Qui grandis chaque jour
Pour toi, il était
Je me souviens de ces fleurs
Toi, tu dormis encore
Malgré le froid de l’aurore
Pour toi, je l'ai y cueillis

Je me souviens du meilleur
Ou ma fille dans ton corps
En lui parlant des heures
Souviens-toi bien moi, j’ai dansé

Auprès de ton corps
Je parler à ma fleur
Beau était le décore
Sur le lit, toi allonger

Je me souviens sois sûr
De toutes ces douleurs
Ma fille dans ton corps
Et ses coups de pied

Aujourd’hui dis-moi alors
Pourquoi ce sombre décore
Et les mots de douleur
Que moi, j’écris

Aussi, je me souviens de mes pleurs
Et ces moments de douleur
Sans sentir ma fleur
De son beau jardin, tu l’as arrachée

Oui, je me souviendrais toujours
De cette nuit aux mille morts
Ou ma fille déjà ailleurs
Et moi seul dans ce couloir, j’attendais

Oui, je me souviens de ton cinglant cœur
Et tout les implore
Pour que je puise voir mon amour
Même rien qu’une heure
Tu as refusé

De quel genre est ton cœur
De faire pleurer une fleur
Surement pas en or
Mais en fer rouiller

La vie, ce n’est qu’une heure
Il vieillira ton corps
Et devant le seigneur
Nous serons tous jugers

Moi aussi, je meurs
Je laisse mes écritures
Et surement un jour
Elle me lira ma fille
Ce jour-là, c’est sûr
Des ailes, auront son cœur
Le monde, elle ferra le tour
Pour me retrouver

Ce jour-là, je n’ai peur
Sous terre sera mon corps
Malgré ces pleurs
Je ne peux pas me réveiller

Quand je pense à ce jour
En moi, une douleur
Qui me perce en profondeur
De son absence dans ma vie

Oui, je vis mes jours
En espérant qu’un jour
Voir de près tes couleurs
Pour oublie, le gris

C’est maintenant que je te veux
Demain surement sera trop tard
Même si tu pleures mille ans mon tombeau
Ne pourra rien faire pour toi un mort
Après la mort plus de missions
Corps sous terre l’âme ailleurs

Mais toi, tu peux faire pour moi tant de choses
Implore pour moi le seigneur sa pitié
Qu’il rend d’éden ma triste fosse
Et implore le, ma fille jour et nuit
Et plante autour de moi des roses
Elles chasseront surement l’ennui


Et devant la porte du paradis,
là-bas j’attends mes gosses
Sois sur ma fille, je t’attendrais
Dommage, je ne t’ai pas connu gosse
Ni femme même pas quand tu as vieilli
Au l’au-delà sûrement, j’aurais une chance
De te prendre dans mes bras et fort te serrée
Je t’aime retrouver-moi dans mes proses
Et sache que tu es mon préféré
À bientôt
Mustapha
 
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